Charlie Teisseire est coordinateur des opérations et chef de bureau pour la branche allemande de Quantis à Berlin. Il s’est entretenu avec nous pour présenter son parcours, son expérience chez Quantis et ses réflexions personnelles.
Parlez-moi un peu de votre parcours.
Charlie Teisseire : Je m’appelle Charlie et je suis gestionnaire de bureau et coordonnateur des opérations pour la branche allemande de Quantis. Je travaille dans l’entreprise depuis deux ans et demi et j’occupe le poste de coordinateur des opérations depuis 18 mois.
Je suis française et allemande, mais j’ai surtout vécu à l’étranger. J’ai grandi en Turquie lorsque j’étais jeune, puis j’ai vécu aux États-Unis pendant 10 ans et j’ai ensuite étudié au Canada. Je vis en Allemagne, à Berlin, depuis environ 7 ans.
Comment avez-vous découvert Quantis ?
CT : J’ai trouvé Quantis grâce à des recherches en ligne. Je cherchais différents types d’emplois de gestionnaire de bureau et d’assistante de direction. Au début, Quantis n’était pas mon premier choix, mais tout au long du processus d’entrevue, j’ai vraiment apprécié le genre de conversations que j’ai eues ; elles étaient très honnêtes et pragmatiques, mais aussi sincères et exploratoires. J’ai eu l’impression que nous étions en train de co-construire mon rôle au sein de l’entreprise, c’était une expérience de collaboration rafraîchissante. Au troisième entretien, Quantis était mon premier choix.
À quoi ressemble votre journée moyenne ?
CT : J’ai des rôles multiples. En tant que chef de bureau, je m’occupe des tâches administratives, de la planification et de la coordination des événements et je suis l’hôte de notre antenne.
Mon rôle de coordinatrice des opérations est complètement différent. Il dépend de ce qui se passe à un moment donné et aucun jour ne se ressemble, ce que j’apprécie beaucoup. Au sein de l’équipe Opérations, nous nous concentrons sur la dotation en personnel des projets, l’optimisation de la charge de travail et l’établissement de rapports sur le fonctionnement de l’entreprise. Une fois que nous avons vendu un projet, nous le mettons en relation avec le bon Quantisien en fonction de son expertise et de son intérêt, ce qui donne parfois l’impression de jouer à Tetris. Les consultants apprennent beaucoup grâce aux projets sur lesquels ils travaillent, et les bonnes opportunités de recrutement les aident à atteindre leurs objectifs de carrière. La partie “business insights” des opérations se concentre davantage sur l’efficacité de nos projets – cela concerne les ressources, mais aussi les outils et les connaissances dont nous disposons.
Comme nous sommes une petite agence, je suis toujours en mesure d’avoir des entretiens individuels réguliers avec nos consultants, au cours desquels nous vérifions comment les choses se déroulent. Je constate maintenant que les interactions sociales informelles que nous avons au cours de ces réunions sont presque aussi importantes. Nous nous apportons mutuellement soutien et conseils, et ces échanges qualitatifs sont un changement bienvenu par rapport aux chiffres et aux feuilles de calcul sur lesquels je me concentre habituellement.
Si vous deviez donner à votre cadet un conseil professionnel ou personnel, quel serait-il et pourquoi ?
CT : C’est une grande question. Si j’avais un conseil à me donner, ce serait d’être plus confiant dans mon développement de carrière. C’est quelque chose que j’ai mis du temps à reconnaître avant de venir chez Quantis. Je suis très dévouée et loyale, mais en même temps, j’ai soif de nouvelles responsabilités et j’ai besoin d’être stimulée par de nouveaux défis.
Auparavant, il m’arrivait de ne pas relever ce défi supplémentaire et de me retrouver en roue libre. Je me disais qu’il fallait que je reconnaisse davantage la valeur de mon temps. Je me suis retrouvée à chercher des moyens d’évoluer dans des entreprises qui ne me le permettaient pas.
C’est une bonne transition vers Quantis, car j’ai trouvé tout le contraire ici, à tel point que c’était presque un peu déstabilisant. Après six mois de travail chez Quantis, mes supérieurs hiérarchiques m’ont encouragé à contribuer davantage et à évoluer au sein de l’agence, et après de nombreuses conversations, j’ai fini par décrocher le poste de responsable des opérations. C’était encourageant et c’est quelque chose que je continue d’apprécier chez Quantis. Nous n’avions pas le temps de nous reposer sur nos lauriers.
Selon vous, qu’est-ce qui définit l’esprit Quantis ?
CT : Je pense qu’il y a une bienveillance générale, probablement parce que nous travaillons dans le domaine du développement durable. Cela apporte un certain optimisme et une volonté d’avoir un impact positif, et bien que cela puisse paraître cliché, cela fait vraiment partie de l’éthique de Quantis. Notre manifeste et la mission de l’entreprise en témoignent.
La collaboration est l’un de nos piliers : en général, nous savons trouver nos objectifs ou obstacles communs et mettre en commun notre expertise et notre savoir-faire pour y faire face. À la succursale de Berlin, nous avons connu des hauts et des bas au cours des dernières années, mais il y a un sens de la résilience et de la croissance qui découle du changement, ce que j’apprécie.
Je trouve que les Quantisiens sont passionnés et curieux, tant au travail qu’en dehors.
Qu’est-ce qui vous passionne ?
CT : Les personnes qui m’entourent. J’apprécie la récompense immédiate de savoir que les gens qui m’entourent vont bien et se sentent responsabilisés. Je me suis penchée sur les aspects humains de mon travail, en veillant à ce que chacun ait ce dont il a besoin et sente qu’il dispose des bons moyens de communication. Cela signifie également qu’il faut savoir reconnaître les difficultés et avoir des conversations honnêtes et orientées vers des solutions.
Nos talents
Nos équipes se composent de talents engagés, créatifs et passionnés — des ingénieurs et scientifiques environnementaux aux experts en communication — tous unis par la volonté de bâtir un avenir qui fonctionne pour les personnes, la planète et les entreprises. En mettant en commun leurs talents uniques, ils réinventent les règles du monde des affaires et impulsent un changement systémique.
